Économisez
en moyenne 15 000 €
sur votre Assurance emprunteur !

Photo d'un couple de personnes surprises et perplexes, l'homme et la femme portant des vêtements jaunes, avec des expressions étonnées.

Stop aux crédits trop chers : Négociez votre assurance emprunteur et économisez !

On parle souvent de taux, de renégociation ou de courtier, mais très rarement de ce qui coûte le plus cher sur un crédit : l’assurance emprunteur. Elle représente jusqu’à 30 % du coût total.
Et pourtant, c’est aujourd’hui le poste le plus simple à optimiser.

Vous êtes en train d’acheter un bien immobilier ?

Ne signez pas l’assurance bancaire les yeux fermés.

dans 90 % des cas, elle est bien plus chère que ce que vous pourriez trouver ailleurs.

Jeune couple debout dans le jardin
Couple adulte heureux profitant d'un moment de détente et de petit-déjeuner, assis sur le canapé, avec un ordinateur portable et un smartphone.

Vous avez déjà un crédit immobilier ?

Bonne nouvelle : vous pouvez renégocier votre assurance (pas besoin de toucher au prêt).

En moyenne, nos utilisateurs économisent entre 8 000 et 12 000€ sur le coût total de leur assurance.

COMMENT ça marche avec banket immo ?

Vous êtes aussi le courtier pour votre assurance emprunteur.

Femme afro-américaine souriante écoutant de la musique avec des écouteurs tout en travaillant sur un ordinateur portable assise sur un banc en extérieur.
Un paquet de billets de 100 euros empilés et attachés avec une bande rouge, posé sur un fond rose.

Vous saviez que l’assurance emprunteur représente entre 20 et 30 % du montant de votre crédit ?

Trouver une bonne assurance, c’est faire des économies !

Pendant longtemps, on a cru que c’était la banque qui décidait.
Aujourd’hui, c’est vous qui avez le pouvoir de dire non à un contrat trop cher.

l’assurance emprunteur est le moyen le plus simple d’économiser sur votre crédit

On vous parle souvent de renégocier votre taux d’intérêt. De passer par un courtier. De revoir la durée de votre prêt.

Mais en vrai, la seule chose que vous pouvez encore modifier sans changer votre crédit, c’est l’assurance emprunteur. Et c’est bien souvent… ce qui coûte le plus cher.

L’assurance peut représenter entre 10 % et 30 % du coût total de votre crédit immobilier.

Et pourtant, la majorité des emprunteurs signent le contrat proposé par la banque, sans comparer, sans négocier, sans savoir.

Pourquoi ? Parce qu’on ne leur a jamais expliqué. Parce que les grandes plateformes de courtage jouent flou. Parce qu’on a fait croire que c’était compliqué.


Chez BANKET IMMO, on pense qu’il est temps de tout vous expliquer avec simplicité et transparence !

Changer d’assurance, c’est simple, légal, gratuit, et rentable. On vous montre comment reprendre le contrôle (sans y laisser votre salaire).

1. À quoi sert vraiment l’assurance de prêt immobilier ?

On pourrait croire que l’assurance emprunteur sert uniquement à protéger la banque.
Et c’est vrai… mais pas seulement.

C’est aussi un filet de sécurité pour vous et votre famille.

Si la vie vous joue un sale tour, c’est cette assurance qui empêche le crédit de devenir un poids insurmontable.

Mais attention : entre une vraie protection et un contrat trop cher avec des exclusions partout, il y a un monde.

Et c’est là que tout commence.

1.1 Une protection à double sens : pour vous, pour la banque

Quand vous signez un prêt, la banque s’engage à vous prêter de l’argent.
Mais elle veut des garanties. Si demain vous ne pouvez plus rembourser — parce que vous êtes malade, accidenté, invalide, ou pire —, elle veut être remboursée quoi qu’il arrive.

L’assurance emprunteur sert donc d’abord à protéger les intérêts de la banque.

Mais elle vous protège, vous aussi. Parce qu’en cas de coup dur, vous ne voulez pas que vos proches héritent de votre crédit. :

  • Si vous décédez : l’assurance rembourse le capital dû.

  • Si vous êtes en invalidité ou incapacité : elle prend le relais sur les mensualités.

  • Si vous perdez votre emploi (selon le contrat) : elle peut temporairement couvrir une partie de vos échéances.

👉 C’est une double sécurité : pour l’établissement prêteur, et pour vous, emprunteur. Mais cette double sécurité a un prix. Et il faut s’assurer qu’elle joue quand elle doit jouer, pas seulement dans les conditions idéales des petites lignes.

1.2 Sans assurance, pas de crédit !

Ce que peu de gens savent, c’est qu’aucune loi ne vous oblige à souscrire une assurance de prêt immobilier.
En théorie.

Mais en pratique ?
Aucune banque ne vous accordera un prêt sans assurance.
C’est simple : pas d’assurance = pas de financement. C’est une condition d’octroi déguisée.

Et là où ça devient intéressant, c’est que vous avez le droit de choisir votre propre assurance, tant qu’elle couvre les mêmes risques.
Ce que la banque ne vous dira (presque) jamais, c’est que vous n’avez pas à prendre leur contrat maison.

Elle vous le glisse dans le dossier, entre deux papiers à signer. Elle vous le vend comme plus simple, plus rapide, “déjà validé par le service crédit”.

Mais en réalité ? C’est souvent beaucoup plus cher, et moins adapté à votre profil.

1.3 Les garanties essentielles que toute assurance emprunteur devrait avoir

Avant de comparer les prix, il faut d’abord comprendre ce que vous achetez réellement.

Une assurance emprunteur n’est pas un forfait téléphonique. Ce sont des garanties vitales, qui peuvent changer le cours de votre vie si jamais l’imprévu frappe.

Les 4 garanties de base à connaître :

  • DC (décès) : si vous décédez, le capital restant dû est remboursé par l’assureur

  • PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie) : si vous ne pouvez plus exercer une activité, l’assurance solde le prêt

  • IPT (invalidité permanente totale) : prise en charge des échéances si vous ne pouvez plus travailler à plus de 66 %

  • ITT (incapacité temporaire de travail) : remboursement temporaire des mensualités en cas d’arrêt de travail prolongé

En option selon les contrats :

  • IPP (invalidité partielle permanente) : couverture si vous êtes touché à plus de 33 %

  • PE (perte d’emploi) : couverture limitée mais utile en période d’instabilité

Mais attention : une garantie, ce n’est pas juste une étiquette.

C’est :

  • un niveau de couverture

  • une durée

  • un seuil de déclenchement

  • des franchises

  • et surtout… des exclusions

👉 Certains contrats excluent la lombalgie, les troubles psy, la pratique de certains sports, ou les séquelles d’anciennes maladies.
👉 D’autres posent des conditions strictes sur les durées de travail ou le type de contrat (salarié CDI vs indépendant).Et c’est là que la comparaison devient cruciale. Deux assurances à 0,15 % du capital peuvent ne pas du tout couvrir la même chose.

Et ça, la banque ne vous le dira pas. Mais nous, on vous le montre.

2. Quel est le vrai prix d’une assurance de prêt immobilier ?

Quand on pense au coût d’un crédit immobilier, on pense au taux d’intérêt, aux frais de dossier, voire à la garantie.

Mais on oublie le plus discret et souvent le plus coûteux des éléments : l’assurance emprunteur.C’est une ligne que la banque glisse dans votre offre de prêt comme si c’était une évidence, une formalité.

Mais ce n’est pas une formalité. C’est une marge colossale déguisée.Et dans la majorité des cas, vous pouvez payer 2 à 3 fois moins, sans changer de prêt, sans changer de banque.

Alors… on parle chiffres ?

2.1 Le coût réel d’une assurance emprunteur : bien plus qu’un détail

Prenons un exemple concret :

  • Vous empruntez 250 000 € sur 20 ans

  • La banque vous propose une assurance à 0,35 % du capital initial

  • Montant total de l’assurance : environ 17 500 € sur la durée du prêt

Mais si vous prenez une assurance déléguée (individuelle) à 0,10 %, ce même contrat vous coûtera seulement 5 000 €.

👉 Économie nette : 12 500 €

Et ça, sans rien changer à votre crédit, sans passer par un courtier gourmand, et sans sacrifier vos garanties.

Comparatif : Assurance bancaire vs Assurance déléguée (via BANKET IMMO)

Critère Assurance bancaire Assurance déléguée (via BANKET IMMO)
Taux moyen appliqué 0,35 % 0,10 %
Calcul Sur capital initial Sur capital restant dû
Coût total sur 20 ans (250 000 €) ≈ 17 500 € ≈ 5 000 €
Économies potentielles jusqu’à 12 500 €
Niveau de garanties Standard Équivalent ou supérieur
Liberté de choix Faible (imposé par la banque) Totale (vous choisissez)
Résiliation possible ? Non précisé Oui, à tout moment (loi Lemoine)
Frais de courtage Parfois inclus discrètement Aucun avec BANKET IMMO
Accompagnement humain Non Oui, gratuit & personnalisé

2.2 Le réflexe du “c’est inclus dans la mensualité”

La banque vous dit souvent :

En réalité, il est important d'y prêter attention.

Quand l’assurance est intégrée à votre mensualité, vous payez tous les mois sans toujours distinguer précisément ce que cela couvre.
Et comme c’est inclus dans le montant global de votre prêt, il devient facile d'oublier de comparer ou d’optimiser cette partie pourtant importante du coût total.

Conséquence : vous ne remettez presque jamais votre assurance en question... alors qu'elle pourrait être améliorée.

2.3 Deux modes de calcul à bien comprendre

1. Assurance sur capital initial

C’est le modèle préféré des banques. Pourquoi ?
Parce que vous payez le même montant chaque mois, même si le capital dû baisse.

👉 Plus simple à gérer pour eux. Plus rentable surtout.

2. Assurance sur capital restant dû

Ici, les mensualités d’assurance baissent au fur et à mesure que vous remboursez votre prêt.

👉 C’est logique, transparent… et souvent 30 à 50 % moins cher à la fin.

2.4 Ce que vous payez, et ce que vous obtenez (vraiment)

Deux contrats peuvent avoir :

  • le même prix

  • les mêmes garanties affichées

…mais une efficacité très différente au moment où vous en avez besoin.

Pourquoi ? Parce que l’un va couvrir :

  • une invalidité à partir de 33 %, l’autre à 66 %

  • une incapacité professionnelle “toute cause”, l’autre uniquement “métier exercé”

  • un arrêt de travail avec 30 jours de franchise, l’autre avec 90

Donc non, toutes les assurances emprunteur ne se valent pas, même si elles affichent le même taux.

Et c’est là que les banques entretiennent le flou.

3. Choisir son assurance emprunteur : les vrais critères à regarder

“Prenez l’assurance proposée par la banque, c’est plus simple.”
C’est ce qu’on vous dit souvent. Trop souvent.

Mais plus simple pour qui, exactement ? Pas pour vous.

Toutes les assurances ne se valent pas. Même si elles promettent “les mêmes garanties”, le diable est dans les détails.

Et si vous ne regardez pas les bons critères, vous risquez de payer cher pour une couverture qui ne joue pas quand il faut.

Alors voilà, sans jargon, les points clés à vérifier avant de signer.

3.1 Synthèse des critères essentiels

Avant de signer un contrat d’assurance emprunteur, il ne suffit pas de regarder un taux ou une mensualité.

Il faut décoder les conditions réelles.

Parce que c’est dans les petits détails que se cachent les grosses différences de prix, de couverture… et parfois, d’arnaque déguisée.

Voici les critères essentiels à comparer — et notre avis sur ce qui mérite votre attention (et votre argent).

Tableau de synthèse des critères essentiels

Critère Pourquoi c’est important Ce que BANKET IMMO recommande
Mode de calcul Impact direct sur le coût total (capital initial = vous payez trop) Sur capital restant dû, pour suivre la réalité de votre prêt
Franchise & carence Délai avant que l’assurance prenne en charge → souvent sous-estimé Franchise ≤ 30 jours, carence 0 si possible
Exclusions Certains contrats n’indemnisent pas les cas fréquents (dos, burn-out, sport…) Contrat sans exclusions abusives, lisibles dès le départ
Définitions des garanties Même mention, mais déclenchement très variable (ex. IPT à 66 % vs 33 %) Garanties activables tôt, avec définition favorable
Souplesse sur la quotité Les banques imposent souvent 50/50 par défaut, même si non logique Répartition libre : 70/30, 100/100 selon vos revenus réels
Durée & plafonds de couverture Certains contrats limitent la prise en charge dans le temps ou en montant Couverture jusqu’à la fin du prêt, sans plafond masqué
Prix total du contrat Le taux n’est pas tout : l’ensemble des conditions influence le vrai coût On compare le coût global réel, en euros sur 15/20/25 ans

Les exlcusions POSSIBLES de l'assurance emprunteur

Type d’exclusion Conséquences en cas de sinistre BANKET IMMO vous aide à…
Mal de dos (lombalgie, sciatique…) Pas indemnisé sans IRM ou preuve “objective” Choisir un contrat qui couvre les dorsalgies sans conditions absurdes
Burn-out / dépression Refus de prise en charge sauf hospitalisation lourde Trouver un contrat qui reconnaît les troubles psy comme un vrai risque
Fibromyalgie / fatigue chronique Non couvert car jugé “non mesurable” Sélectionner une assurance sans clauses floues sur les maladies diffuses
Sports “à risque” (même pratiqués en loisir) Refus de garantie en cas d’accident pendant l’activité Identifier les exclusions sportives et les faire adapter à votre profil
Séjour > 90 jours hors UE Refus de prise en charge pour tout événement médical sur place Choisir un contrat qui vous suit même à l’étranger
Antécédents médicaux anciens Risque de nullité du contrat ou d’exclusion a posteriori Vérifier et sécuriser vos déclarations de santé avec nous
Alcool ou THC dans le sang Refus d’indemnisation si substance détectée, même hors cause directe Vous alerter sur les clauses toxiques liées à l’état d’ébriété
Métiers manuels / BTP / police Franchises plus longues, ou refus total selon contrat Analyser les restrictions par métier et les éviter dès la souscription
Travailleur non salarié mal déclaré Refus de prise en charge pour arrêt d’activité Vous aider à rédiger la description professionnelle sans faille
Grossesse (pathologies liées) Pas d’indemnisation en cas de complication longue Repérer et éviter les clauses sexistement rédigées

3.2 Comment personnaliser les garanties et la répartition de l’assurance emprunteur ?

L’assurance emprunteur n’est pas un produit figé qu’on vous impose tel quel. Elle peut (et doit) s’adapter à votre situation personnelle et financière.

Deux leviers sont souvent sous-estimés : la personnalisation des garanties, et la répartition de la couverture entre co-emprunteurs, appelée “quotité”.

Bien utilisée, cette personnalisation peut renforcer votre protection tout en évitant de surpayer.

Personnaliser les garanties selon vos besoins réels

Chaque garantie a un coût, et tout le monde n’a pas les mêmes priorités.

Exemple : un salarié stable peut ne pas juger utile d’ajouter la garantie “perte d’emploi”, alors qu’un indépendant préférera renforcer sa couverture ITT (arrêt maladie).

Personnaliser les garanties selon vos besoins réels

La quotité, c’est le pourcentage de couverture attribué à chaque emprunteur.

Par défaut, les banques imposent souvent un 50/50. Mais ce n’est pas toujours le plus pertinent.

📊 Exemple de répartition des quotités

Situation Quotité 1er emprunteur Quotité 2e emprunteur Remarques BANKET
Revenus équivalents 50 % 50 % OK si équilibre financier entre les deux
Emprunteur principal (revenus 80 %) 70 % 30 % Protège mieux la personne qui rembourse le plus
Un seul emprunteur 100 % 0 % Obligatoire si l’un n’est pas co-emprunteur
Couple souhaitant double sécurité 100 % 100 % Double assurance = double tranquillité, coût × 2

4. Changer d’assurance de prêt : mode d’emploi

Changer d’assurance emprunteur, c’est le seul levier d’économie activable sans toucher à votre crédit.

Et grâce à la loi Lemoine, vous pouvez le faire à tout moment, sans attendre une date d’anniversaire, sans frais, sans justification.

Mais ce que la banque ne vous dira jamais, c’est comment faire, dans quel ordre, avec quelles preuves. Et surtout : elle ne vous aidera pas à le faire, même si la loi l’y oblige.

Chez BANKET IMMO, on vous simplifie tout.

Voici le vrai mode d’emploi pour changer sans stress, sans erreur, sans vous faire manipuler.

4.1 OUI, vous avez le droit de résilier votre assurance emprunteur

Depuis février 2022, la loi Lemoine vous donne un droit simple et clair :

Ce droit est :

  • Gratuit : Changer d’assurance ne vous coûte rien. Pas de frais de résiliation, pas de pénalité, pas de coût caché.

  • Irrévocable : La banque ne peut pas revenir sur ce droit. Elle ne peut pas vous dire “on a changé d’avis” ou “ce n’est plus possible cette année”.

  • Indépendant du contrat bancaire : C’est LE point que les banques aiment brouiller. Le taux reste le même. La durée reste la même. Vos mensualités restent identiques (hors assurance).

👉 Vous gardez le même crédit, la même banque, mais vous changez juste d’assurance.

Et la banque est obligée de l’accepter, si le niveau de garantie est équivalent.

4.2 OUI, vous pouvez garder votre crédit dans votre banque

C’est le plus gros mensonge bancaire du marché :

Votre prêt reste exactement le même. Seule l’assurance adossée change.

Changer d’assurance ne modifie :

  • Ni votre taux : Vous gardez exactement le même taux d’intérêt. Le crédit ne bouge pas d’un centime.

  • Ni votre mensualité (hors assurance) : Vos remboursements restent identiques. Vous changez juste la partie “assurance” dans la somme totale.

  • Ni la durée de votre prêt : Vous ne repoussez rien. Vous ne réduisez rien. Vous continuez à rembourser comme prévu.

  • Ni votre relation avec la banque : Vous restez client. Vous gardez vos comptes. La banque doit simplement appliquer la loi.

4.3 Comment faire pour résilier son assurance actuelle ?

Changer d’assurance emprunteur, ça se fait en 4 étapes simples.

Étape 1 : Trouver un nouveau contrat

  • Récupérer la fiche standardisée d’information (FSI) de votre contrat actuel (votre banque vous la fournit ou vous l’avez dans votre dossier de prêt).

  • Identifier les critères de garanties exigés (la banque doit en publier max 11, c’est la loi) - Les 18 critères CCSF expliqués un par un.

Étape 2 : Obtenir l’accord de la banque

  • Envoyer une demande de substitution d’assurance à votre banque. Généralement c'est votre nouvel assureur qui se charge de cette partie.

  • Joindre le nouveau contrat + la fiche d’équivalence de garanties.


💡 La banque a 10 jours ouvrés pour répondre. Sans réponse, c’est accepté par défaut.

Étape 3 : Résilier l’ancien contrat

  • Vérifier dans vos conditions générales comment résilier votre assurance actuelle.

  • Envoyer un courrier recommandé ou un mail avec AR à l’assureur (pas la banque).


👉 Une fois que la banque a validé votre nouveau contrat, la résiliation de l’ancien contrat est automatique dans la majorité des cas.
C’est le nouvel assureur qui envoie la demande de substitution à l’ancien assureur.

Étape 4 : Laisser le nouveau contrat prendre le relais

  • Une fois la banque OK et l’ancien contrat résilié, le nouveau contrat entre en vigueur.

  • Vous êtes couverts sans interruption, et vous commencez à économiser dès la prochaine mensualité


👉 Une fois que la banque a validé votre nouveau contrat, la résiliation de l’ancien contrat est automatique dans la majorité des cas.
C’est le nouvel assureur qui envoie la demande de substitution à l’ancien assureur.

4.4 Les 18 critères CCSF expliqués un par un

Garanties Décès / PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie)

  • Âge limite de garantie : L’assurance couvre jusqu’à un certain âge (souvent 65, 70 ou 85 ans).
    👉 Pourquoi c’est important ? Passé cet âge, vous n’êtes plus couvert – donc il faut vérifier que cela couvre bien toute la durée de votre prêt.

  • Durée de couverture du prêt : Votre assurance doit vous protéger jusqu'au terme de votre crédit immobilier.
    👉 Veillez à ce que la durée de couverture corresponde exactement à la durée de votre prêt (attention en cas de remboursement anticipé partiel, de renégociation ou de changement d'assurance en cours de crédit).

  • Montant garanti : L’assurance doit rembourser le capital restant dû en cas de décès ou de PTIA.
    👉 Attention aux assurances qui plafonnent ou limitent le montant garanti.

  • Territorialité de la couverture : Est-ce que vous êtes encore couvert si le sinistre survient à l’étranger ?
    👉 Certains contrats vous couvrent uniquement en France, voire dans l’UE.

  • Exclusions médicales spécifiques : Certaines pathologies sont automatiquement exclues (dos, psy, etc.).
    👉 Un bon contrat doit être clair, et surtout limiter ces exclusions au maximum.

  • Exclusions professionnelles ou sportives : Si vous avez une activité jugée “à risque” (BTP, police, sport intensif), certaines assurances vous excluent.
    👉 Un contrat propre ne vous pénalise pas pour votre métier ou vos loisirs.

Garantie Invalidité Permanente Totale (IPT)

  • Taux d’invalidité requis pour déclencher la garantie : En général : à partir de 66 % d’invalidité reconnue par un organisme officiel.
    👉 Certains contrats demandent plus… donc ne couvrent rien.

  • Reconnaissance par un organisme de sécurité sociale : L’assureur exige-t-il que votre état soit validé par la Sécu ou la MSA ?
    👉 Plus c’est exigeant, plus vous avez de chances d’être refusé.

  • Définition de l’activité professionnelle couverte : L’assurance considère-t-elle votre métier réel… ou “toute activité” ?
    👉 Exemple : vous êtes plombier, mais si l’assurance dit “vous pouvez encore faire un job de bureau”, elle ne vous indemnisera pas.

  • Durée d’indemnisation : Combien de temps l’assurance vous couvre si vous êtes invalide ? Jusqu’à la fin du prêt ou seulement quelques années ?
    👉 Une vraie protection dure aussi longtemps que votre crédit.

  • Franchise (délai avant déclenchement) : Combien de jours entre le sinistre et le début de l’indemnisation ?
    👉 Une franchise courte = une couverture plus réactive.

Garantie Incapacité Temporaire Totale (ITT)

  • Franchise (nombre de jours avant prise en charge) : Même logique que pour l’IPT : si vous êtes arrêté 45 jours mais que la franchise est de 60 jours = zéro prise en charge.

  • Durée maximale de prise en charge : L’assurance paie vos mensualités pendant combien de temps max ?
    👉Certains contrats s’arrêtent au bout d’un an, d’autres jusqu’à la reprise d’activité.

  • Définition de l’incapacité (profession exercée ou toute activité) : Comme pour l’IPT, si vous ne pouvez plus faire VOTRE métier, est-ce suffisant ?
    👉Une mauvaise définition vous oblige à changer de métier pour ne pas perdre l’indemnisation.

  • Taux de prise en charge (intégrale ou partielle) : Est-ce que l’assurance couvre 100 % de la mensualité, ou seulement une partie ?
    👉Certains contrats n’assurent qu’un pourcentage (50, 70 %...) sans le dire clairement.

Garantie Perte d’Emploi (optionnelle)

  • Ancienneté requise dans l’emploi : Il faut souvent avoir 12 mois d’ancienneté dans le même CDI pour être couvert.
    👉Les indépendants, CDD ou contrats récents sont souvent exclus.

  • Durée d’indemnisation maximale : L’assurance vous aide combien de temps si vous perdez votre emploi ?
    👉Souvent entre 6 et 24 mois. Après, c’est terminé.

  • Délai de carence : Temps pendant lequel vous n’êtes pas couvert après la souscription (par exemple : pas de couverture P.E. pendant les 6 premiers mois).
    👉À vérifier systématiquement.

Qu’est-ce que l’assurance emprunteur et à quoi sert-elle ?

L’assurance emprunteur protège l’emprunteur et la banque en cas de décès, invalidité ou incapacité. Elle prend en charge le remboursement du crédit immobilier selon les garanties souscrites.

L’assurance emprunteur est-elle obligatoire ?

Elle n’est pas légalement obligatoire, mais en pratique, toutes les banques l’exigent pour accorder un prêt immobilier.

Quelles garanties sont incluses dans une assurance de prêt ?

Les garanties de base sont : décès, perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA), invalidité (IPT/IPT), incapacité temporaire de travail (ITT). La perte d’emploi est parfois en option.

Comment fonctionne l’assurance de prêt immobilier ?

Vous payez une cotisation mensuelle. En cas de sinistre couvert, l’assureur rembourse tout ou partie de vos mensualités, selon les garanties souscrites.

Combien coûte une assurance emprunteur ?

Elle représente 20 à 30 % du coût total du crédit. Son prix dépend de l’âge, de la santé, du capital emprunté et des garanties choisies.

Quelle est la différence entre capital initial et capital restant dû ?

Sur capital initial, la prime reste fixe. Sur capital restant dû, elle diminue avec le temps. Ce dernier est souvent bien plus économique.

Dois-je obligatoirement prendre l’assurance de ma banque ?

Non. Vous êtes libre de choisir une assurance externe, tant qu’elle offre des garanties équivalentes. C’est souvent 2 à 3 fois moins cher.

Comment comparer deux contrats d’assurance emprunteur ?

Comparez les garanties, les exclusions, les franchises, la durée de couverture et le coût total. Pas juste le taux.

Quelles exclusions faut-il vérifier dans un contrat d’assurance de prêt ?

Mal de dos, troubles psy, sports à risque, voyages longs, professions manuelles. Certaines assurances les excluent sans le dire clairement.

Comment savoir si un contrat est adapté à mon profil ?

Il doit correspondre à votre situation : âge, métier, statut (CDI, indépendant), antécédents médicaux. BANKET vous aide à lire entre les lignes.

Puis-je personnaliser la couverture entre co-emprunteurs ?

Oui. Vous pouvez répartir les garanties à 50/50 ou selon les revenus (ex. 70/30). Vous pouvez aussi être chacun assuré à 100 %.

Puis-je changer d’assurance après la signature du crédit immobilier ?

Oui, grâce à la loi Lemoine, vous pouvez changer d’assurance emprunteur à tout moment, sans frais ni justification.

Quelles conditions pour changer d’assurance de prêt immobilier ?

Le nouveau contrat doit proposer des garanties au moins équivalentes à celles de l’assurance initiale.

La banque peut-elle refuser le changement d’assurance ?

Non, si les garanties sont équivalentes. Elle a 10 jours pour répondre, au-delà, c’est considéré comme accepté.

Changer d’assurance m’oblige-t-il à changer de banque ?

Pas du tout. Le prêt reste dans votre banque. Vous ne changez que l’assurance, pas le financement.

Combien puis-je économiser en changeant d’assurance emprunteur ?

En moyenne, jusqu’à 15 000 € sur la durée du crédit immobilier. Tout dépend de votre contrat actuel et de votre profil.

Quelles sont les étapes pour changer d’assurance emprunteur ?

Etape 1 : Trouver un nouveau contrat
Etape 2 : Vérifier l’équivalence des garanties
Etape 3 : Obtenir l’accord de la banque
Etape 4 : Résilier l’ancien contrat une fois l’accord validé